Avant de relancer un client, il est important de savoir qu’il y a des limites à la relance proprement dite. Autrement dit, il ne faut pas effectuer des relances parce qu’il y a des objectifs de vente à atteindre ou encore parce qu’il y a risque de chômage si le nécessaire n’est pas fait au niveau des prospects nécessitant la relance en question.
Il faut noter que le prospect peut déceler la raison des démarches effectuées dans les relances par le commercial. Sans le savoir, ce dernier peut se trahir s’il envoie des relances désespérées ou impersonnelles ou encore conditionnelles. Cette démarche sera mal vue par le prospect qui aura tendance à penser que le produit n’est pas bon ou que c’est le commercial qui n’est pas compétent,
Un client inactif doit être bien défini à une date bien spécifiée. Il faut les rassembler suivant une méthode de segmentation qui permet d’axer les stratégies de conquête et de fidélisation.
Cette stratégie de relance est indispensable pour les clients inactifs car elle permet d’avoir les historiques d’activités et d’achats du client inactif proprement dit et de lui proposer des produits susceptibles de l’intéresser suivant les connaissances qu’on a de lui. Il faut savoir qu’une stratégie de fidélisation des clients inactifs permet d’entreprendre un traitement différencié et personnalisé en fonction d’une valeur établie par l’entreprise permettant ainsi d’augmenter la rétention clients. Bref, il faut garder à l’esprit que chaque contact avec le client, quoiqu’il soit inactif pourrait être une opportunité de le conquérir et de le fidéliser.