Pourquoi investir dans le numérique en Afrique ?
L’évolution de la sphère digitale en Afrique a permis à de nombreux entrepreneurs d’avoir une nouvelle vision de leur activité. La révolution numérique est en marche et les nouvelles technologies touchent tous les secteurs d’activité, reste à savoir en tirer des avantages.

Le digital : véritable enjeu de développement

L’essor du numérique en Afrique a contribué au développement économique et social du pays. Les acteurs économiques, conscients de cette évolution, sont nombreux à avoir surfé sur la tendance en modulant leurs offres et en les rendant plus accessibles aux internautes. En effet, de nouvelles habitudes de consommation sont apparues au fil des années et pour mieux répondre aux besoins des clients, les acteurs doivent allier innovation et réactivité. Investir dans le numérique en Afrique ne promet que des avantages si l’on sait que les nouvelles technologies ouvrent vers de nouvelles perspectives. De plus, comme la concurrence n’est pas encore rude, on peut espérer de bonne rentabilité, et ce, sur le court terme.

Comment intégrer le marché ?

D’une part, l’arrivée des Smartphones à petit prix a contribué à booster la révolution numérique en Afrique. Les utilisateurs ont pu accéder à des applications plus inclusives et l’utilisation d’Internet s’est largement répandue. D’autre part, les offres accessibles sur mobile sont plus vastes et plus diversifiées, permettant aux utilisateurs de faire leurs achats en ligne, de souscrire une assurance ou encore d’accéder au micro-crédit.

À cela s’ajoute l’émergence des réseaux sociaux, l’arrivée du Big Data et le crowdfunding, tout cela contribue à booster le secteur économique en Afrique. Pour intégrer le marché, il faudra bien évidemment adapter ses solutions (sites internet, site e-commerce) aux spécificités locales et culturelles ainsi qu’aux normes législatives et techniques. Enfin, il faudra penser à opter pour des solutions qui évitent aux consommateurs d’avoir à payer en ligne comme le système du « click and collect » qui est actuellement utilisé par la plupart des sites africains.