United African Coin rivalisera avec le BITCOIN en moins de 4 ans ?

Le temps est venu pour l’Afrique, il faut révolutionner l’économie en commençant par l’adoption de nouveaux systèmes de monétisation, dont la cryptomonnaie. Le Bitcoin (BTC) demeure le plus populaire, bien que d’autres pièces locales ont déjà vu le jour. Ensuite, l’United African Coin est né pour conquérir les marchés africains. L’analyse de la situation actuelle nous permet d’estimer s’il est possible de mettre un terme à l’ère de BTC et le remplacer par l’UAC.

L’hégémonie du Bitcoin en Afrique

Au même titre que Litecoin, Dash, XRP et Lisk, Bitcoin est une grande marque de cryptomonnaies présente dans quelques pays africains. Cependant, c’est lui qui arrive en tête du classement en matières de nombre d’utilisateurs et de montants de transactions complétées. Jusqu’à présent, il reste le plus connu de tous les traders et investisseurs digitaux en Afrique, dont au Kenya, Tanzanie, Afrique du Sud, Nigéria et Centrafrique. Ce dernier a même décidé de faire de Bitcoin sa deuxième monnaie officielle.

Avec l’instabilité politique et le déficit économique de certains pays, les gens n’ont plus accès ou craignent les services bancaires et les investisseurs traditionnels. Au risque d’écoper les effets de l’effondrement de ces systèmes financiers, nombreux sont ceux qui optent pour les monnaies en ligne. De plus, ces firmes internationales profitent de la lacune au niveau du contrôle gouvernemental concernant les devises électroniques.

L’essor de l’UAC

Depuis une vingtaine d’années, certains dirigeants africains ont travaillé sur la mise en place d’une monnaie unique pour toute l’Afrique. Effectivement, l’existence d’une pièce commune renforce le poids économique d’une zone. On parle bien évidemment de l’euro pour l’Union Européenne et le Dollar pour les Etats-Unis d’Amérique. De même pour les cryptomonnaies, l’envahissement de plusieurs marques monétaires pourraient entraver la force financière de la zone Afrique.

Entre autres, la République Centrafricaine a le Sango, le Safcoin pour l’Afrique du Sud, le Digital Shiling pour le Kenya et l’Awehcash pour la Namibie. Il vient ainsi l’idée de créer une cryptomonnaie unique afin de faciliter les transactions et les cours boursiers sur les marchés panafricains. C’est ainsi que l’United African Coin a vu le jour. Aujourd’hui, l’UAC enregistre des milliers d’utilisateurs, et compte conquérir tous les pays du continent.

Les différences entre l’UAC et le Bitcoin

La philosophie de l’UAC a convaincu beaucoup d’utilisateurs. Le BTC est effectivement connu pour l’instabilité des frais et de vitesse de transactions. De son côté, l’UAC se dote d’une certaine stabilité, étant donné qu’un portefeuille commun entre les organismes caritatifs membres assure la sécurisation. De plus, les comptes Bitcoins présentent des failles de sécurité que des personnes malveillantes puissent décoder facilement. Le risque de perte d’investissement est en revanche beaucoup moindre avec le trading UAC.

Par ailleurs, ce ne sont pas tous les instituts, les gouvernements et les prestataires de services en Afrique qui autorisent le bitcoin et les autres cryptomonnaies étrangères. Ces entités privées et publiques ne disposent pas des moyens pour contrôler ces monnaies. Pourtant, l’UAC a été conçu pour répondre aux besoins de nos banques et dirigeants.

UAC et Bitcoin : les perspectives 2026

Les inventeurs de l’UAC ont visé haut et loin. Bien que cette pièce permette de faciliter les échanges monétaires intracontinentales africaines, le but de l’United African Coin est de réduire l’écart de pauvreté entre les pays développés et les autres pays africains. En offrant à chaque citoyen majeur la possibilité de gagner leur vie grâce à la technologie, l’UAC conquerra de plus en plus de cœurs.

De son côté, les statistiques de Bitcoin n’ont plus beaucoup évolué depuis quelques temps, parce que ses utilisateurs commencent à en saisir les inconvénients. Cette régression se justifie par les inconvénients de cette cryptomonnaie qui a pourtant émerveillé les néophytes. Vu cette différence d’allures, nous pouvons donc conclure que d’ici 4 ans, nous assisterons à un changement de camps : du BTC à l’UAC.