Faisant partie de ses activités économiques, l’Afrique se doit de s’intéresser aux nouvelles technologies, et surtout de laisser de côté les dessins. Ce qui permet d’augmenter la production de biens et de services dans une économie sur une période donnée. Que ce soit pour l’intelligence artificielle, le cloud, l’internet des objets, la 5G et l’apprentissage automatique contribuent au développement du numérique dans le pays.
L’intelligence artificielle, une technologie pleine d’avenir
Selon la publication 2022 du Mobile Word Congress à Barcelone, les entreprises dans le secteur informatique et les start-ups accordent de l’importance à l’IA ou l’intelligence artificielle. Effectivement, cette dernière parvient à résoudre leur problème, y compris leurs produits. Grâce à l’IA, environ 80% des entreprises dans le monde entier ont su en tirer profit. En effet, l’IA fait l’objet des études sur les nouvelles méthodes de production et est basée sur des algorithmes bien définis pour mieux imiter l’intelligence humaine à partir des machines. On doit effectuer donc des calculs puissants. Afin d’en bénéficier de cette technologie, vous devez donc être connecté à l’aide d’un réseau informatique et en disposer d’une infrastructure informatique. Une fois que les industries ainsi que les sociétés utilisent l’IA, cela va contribuer à la croissance économique du pays. À titre d’exemple, le choix d’une voiture autonome, la pratique médicale à distance et l’industrie 4.0. Les robotiques, quant à elles consistent à la conception des machines automatisées. Il existe également les jeux fictifs et les méthodes envisageables pour mieux réduire la consommation de l’énergie.
L’intelligence artificielle mérite d’être valorisé en Afrique
L’IA n’est autre qu’un sujet non encore exploité sur le reste de l’Afrique. Selon les études de l’UNESCO en 2021 sur le développement de l’intelligence artificielle, seule 21 pays africains ont su en tirer profit de l’IA sur les 32 pays enquêtés. Ils ont tout de suite adopté cette nouvelle technologie pour améliorer la croissance économique du continent. Concernant les pays du Maghreb, la Tunisie et le Maroc restent les deux premières têtes de liste qui ont utilisé le déploiement de l’IA. Pour ce qui est de l’Algérie, on a défini un plan de projet à partir de l’année 2020 jusqu’en 2030. Ce projet vise surtout la mise en place d’une formation, des études et des répercussions de l’IA sur l’économie dans la société. Malgré ces diverses actions menées en Afrique, sachez qu’on note considérablement un manque de scientifiques vis-à-vis de l’intelligence artificielle. La principale raison de cette situation est le fait qu’il y a un manque d’investissements. Selon les études de l’OCDE en 2021, les start-ups américaines et chinoises ont placé des fonds auprès de 80% des jeunes entreprises. Même si l’Union européenne a investi autant d’argent dans l’IA, les pays africains présentent un déficit budgétaire.
Le besoin d’un capital humain et financier pour l’amélioration de l’IA
Selon les études d’une organisation intergouvernementale à but non lucratif, environ 5000 chercheurs en phase de formation de l’IA et de l’apprentissage automatique nécessitent de formations adéquates. Face à cette situation, le groupe Huawei a mis en œuvre un programme mondial pour évaluer la capacité à utiliser les technologies de l’information.