En ce moment, les adresses électroniques sont devenues un canal d’échange d’information sur Internet, afin de conclure un contrat commercial par exemple. Pourtant, l’accès à ces adresses doit suivre des démarches dont l’opt-in, ou option d’adhésion en français, que signifie ce terme.
Il désigne la demande d’accord au titulaire de l’adresse électronique avant d’y envoyer des messages d’informations ou autres. En d’autre terme, opt-in inclut toutes les démarches préalables pour obtenir le consentement du titulaire d’une adresse de messagerie électronique avant de lui remettre des messages. Il existe deux types d’opt-in, à savoir l’active et le passive. Le premier nécessite une réponse (accord ou désaccord) immédiat de l’internaute titulaire de l’adresse. Cette démarche est attribuée dans le but de respecter les détails de vie privée de l’internaute. Dans la plupart des cas d’opt-in active, il suffit au propriétaire de l’adresse de cocher des cases pour démontrer son consentement ou son désaccord pour des cas éventuels. Pour ce cas, on peut être sure que c’est vraiment le titulaire de l’adresse qui donne son accord et non personne d’autre.
L’opt-in est donc adopté lors d’un envoi de message à une personne physique et non pas à une entreprise. D’ailleurs, c’est indiqué dans l’article L34-5 qu’il est interdit d’envoyer directement des messages par courriels ou par autres moyens, à l’adresse d’une personne physique sans avoir son consentement préalable pour l’utilisation de ces coordonnées pour des fins personnels. Sachez que le titulaire concerné est libre de donner sa réponse ou non. Des fois, ces coordonnées sont utilisées pour des fins commerciales, alors l’accord du titulaire est vraiment indispensable. Même en cas d’envoi des newsletters, cet accord est jugé nécessaire pour éviter toutes perturbations éventuelles du concerné.