Les offres pros chez les opérateurs téléphoniques sont aussi diverses que variées, laissant ainsi un large choix aux entreprises désireuses d’avoir un abonnement adapté à leurs besoins en téléphonie. Ce que l’on ne sait pas toujours, c’est qu’il est possible de négocier son contrat de téléphonie d’entreprise, voici d’ailleurs quelques conseils à retenir à cet effet.

Dans quelles circonstances négocier avec son opérateur ?

Au moment de souscrire son contrat de téléphonie d’entreprise auprès d’un opérateur, il faut savoir que l’on peut dans certains cas, négocier le tarif et faire ainsi permettre à l’entreprise de faire de bonnes économies. L’on peut notamment demander à revoir les conditions prétextant que chez la concurrence, les tarifs peuvent être révisés. On peut également négocier sur une augmentation du forfait, à condition que l’offre ne soit pas satisfaisante.

Il convient de rappeler qu’une souscription datant de moins d’une année est la meilleure occasion pour discuter de son abonnement et d’une révision de celui-ci. La mise en place de la loi Châtel permet aux abonnées des opérateurs téléphoniques de résilier leur contrat à compter d’un an de souscription et de ne payer que 25 % du montant restant dû jusqu’à la fin de l’abonnement. Comme les opérateurs ont tout intérêt à éviter une résiliation de contrat, ils seront plus à même d’accepter une négociation.

Comment réussir sa négociation ?

Pour réussir sa négociation, il faut présenter les bons arguments. Par exemple, si l’entreprise a souscrit à la fois son abonnement en téléphonie et en Internet auprès du même opérateur et que les factures mensuelles ont enregistré une hausse sur les derniers mois alors on peut demander à revoir les forfaits. On peut par exemple demander à supprimer certains services payants, mais qui ne sont pas toujours indispensables. L’objectif est de profiter de tarifs avantageux pour des services de qualité et dans un contexte concurrentiel, l’opérateur devrait faire un bon geste au risque que ses clients aillent voir chez les concurrents.